22 - Le
chemin
des oratoires et
Notre-Dame du Beausset-Vieux.
La Cadière d'Azur, les chapelles Saint-Côme et Saint-Damien, Sainte-Madeleine, de la Sainte-Croix. |
Le
Beausset, chemin
des oratoires et
Notre-Dame du Beausset-Vieux.
" Le Beausset est la
commune de France qui
possède le plus grand nombre d’oratoires : une cinquantaine de
monuments qui sont autant de prières de pierre et de trésors
patrimoniaux. Si certains ont disparu, d’autres ont vu le jour
récemment perpétuant une tradition ancestrale. Douze oratoires, restaurés en 2010 par la municipalité, jalonnent le chemin de pèlerinage menant à la chapelle Notre-Dame du Beausset Vieux (XIIe siècle). Ce chemin serpente le long du versant nord-ouest de l’escarpement rocheux qui culmine à 383m d’altitude. La commune du Beausset vous souhaite une belle promenade à la découverte d’un patrimoine méconnu du terroir Sud Sainte Baume. " Pour le circuit et tous les détails sur les oratoires, ne maquez pas la Brochure sur les oratoires téléchargée sur le site de la commune, elle devrait finir de vous convaincre de partir en balade. |
Le Beausset-Vieux vu du Gros Cerveau à Ollioules.
Donc, petite promenade au départ du Beausset "neuf", direction le village primitif du Beausset-Vieux qui s'était développé autour d'un castrum et d'une chapelle érigés en 1164 par les évêques de Marseille. Mais avant ... |
Le Beausset-Vieux vu de Saint-Cyr-sur-Mer.
" Le mamelon sur lequel ce village est bâti, s'élevait autrefois au milieu d'une vaste forêt, sur la lisière d'une plaine couverte de marécages, au pied de la pointe presque inaccessible du Beausset-Vieux et tout près de sources abondantes. Cette position avantageuse fut remarquée par une tribu Celto-Ligurienne des peuplades qui occupaient le littoral et ses environs, la tribu des Commoni, et c'est là que les Romains la trouvèrent lorsque Sextius Galvinus après la défaite des Liguriens, la comprit parmi les populations qu'il cédait à Marseille. Les Romains ne manquèrent pas d'utiliser le retranchement du Beausset-Vieux qui leur offrait une position stratégique avantageuse, mais ce fut tout, et la colonie du Beausset resta pauvre et malheureuse pendant plusieurs siècles jusqu'à l'époque des invasions. " (Académie du Var, 1904) |
" ... les vieillards, les personnes infirmes qui ne
pouvaient gravir la montagne, accompagnaient la procession jusqu'à
Saint-Louis. " A gauche, le 1er oratoire dédié à Saint Louis - 1792, il a été construit sur la porte de l’ancienne chapelle Saint-Louis construite en 1665. Cette chapelle perpétuait " le souvenir du passage de Louis XIV au Beausset servant de station aux pèlerins qui se rendaient à l'ermitage du Beausset-Vieux, et l'on y célébrait la messe le jour de la fête de Saint-Louis. Elle fut détruite en 1792, par des malfaiteurs qui la firent sauter à l'aide d'une marmite pleine de poudre. Aujourd'hui un oratoire de bien pauvre apparence, placé au-dessus d'une porte murée, en marque l'emplacement. " (Bulletin de l'Académie du Var - 1904). " La tradition orale rapporte qu’une rivalité animait la confrérie des pénitents blancs et celle des pénitents noirs, que leurs divers membres en venaient à se battre à coups de bâtons et de crucifix lors des processions. " La confrérie des Pénitents noirs s'était établie au Beausset le 8 mai 1638 dans une chapelle construite au Puits de la ville. Mais " trop entichée de certaines prétendues prérogatives, cette association troubla bien souvent par des scènes scandaleuses la bonne harmonie qui aurait du exister toujours entre les différentes confréries établies dans la paroisse, et finit par encourir la disgrâce de Monseigneur Belzunce. " Le 27 janvier 1736, Msgr Belzunce mit fin aux dissensions en réunissant les deux confréries en une seule, celle des pénitents bleus, sous le titre de Notre-Dame de Miséricorde. |
2ème oratoire dédié à Saint-Etienne, il remplace lui aussi
une chapelle
détruite en 1736. " Le Beausset, ainsi appelé parce qu'il faisait
partie des terres Baussenques de la puissante maison des Baux, est
situé, sur la pente d'un coteau, sur la route nationale de Toulon à
Marseille. ... Le château-fort du Beausset-Vieux, fut bâti sur l'emplacement d'un ancien camp romain, au sommet d'un escarpement qui s'élève de 400 mètres au-dessus du niveau de la mer, développait sa première enceinte sur les flancs de la colline ... Sans pouvoir préciser quels ont été les siéges qu'a eu à soutenir la forteresse du Beausset-Vieux, nous n'hésitons pas à assurer qu'elle a du se défendre contre de sérieuses attaques, puisqu'on a trouvé de nombreux squelettes et de vieilles armes ensevelis au pied de l'escarpement dans la région du sud. ... pendant la guerre de la Ligue, Antoine de Boyer, lieutenant du duc d'Epernon, était retranché au Beausset-Vieux d'où il inquiétait fort les ennemis du roi qui s'étaient barricadés dans le village du Beausset pour rançonner de là plus facilement Ollioules et Toulon ; et qu'en 1593 cet intrépide soldat sortit de son retranchement, attaqua l'ennemi, le chassa du Beausset où il établit lui-même, près de l'église, une garnison de 15 cavaliers et de 50 hommes pour la défense du lieu et la liberté des opérations de l'armée du roi. " |
De gauche à droite, l'oratoire Saint Alban (1943) ; l'oratoire Sainte Bernadette et Notre-Dame de Lourdes (1954) ; l'oratoire Saint Laurent (1946). " Au XVIème siècle, la région se pacifiant, le seigneur évêque autorise le 19 mars 1506 les habitants du Beausset Vieux à descendre dans la plaine au lieu dit " Les Cabanes ". |
Oratoire Saint Roch (1943). " En 1615, le château du Beausset-Vieux était encore entier et en bon état de conservation. Mais, la Communauté profitant de l'antipathie de Richelieu pour la noblesse demanda la démolition de ce château, ce qui fut accordé et exécuté la même année. " (Bulletin de l'Académie du Var - 1904). |
Oratoire Saint Anne (1943). Après la démolition du château le Beausset Vieux devient un lieu de pèlerinage vers la chapelle dédiée à la Vierge, protectrice du Beausset. Le site accueille ainsi des pèlerins prestigieux tels Louis XIV en 1660 (ndlr - il se rendait à Cotignac) ou encore Bonaparte en 1793 (ndlr - il allait délivrer Toulon de l'Anglois). |
Notre Dame des Champs et oratoire Sainte Barbe
(1943). Sous
la révolution La chapelle est ses dépendances sont
vendues comme biens nationaux : " ... concédé comme domaine national,
acquis à la nation en vertu de la loi du 18 aoùt 1702, le
Beausset-Vieux fut divisé en deux lots et mis en vente le 5 brumaire an
V de la République ; le premier lot fut vendu au citoyen Jean-Baptiste
Chauban, du Beausset, fondé de pouvoirs de Claude Richaud, boucher au
Beausset, le second à Pascal Sicard, propriétaire au Beausset, l'un et
l'autre lot au prix de 670 francs. " |
Oratoire Saint Eutrope (1943). " Fort heureusement le premier soin de M. le curé Toussaint Beuf, à son retour de l'émigration, fut de rendre au culte et à la fabrique l'ermitage du Beausset-Vieux. Claude Richaud le lui céda au prix de 700 fr., par acte signé le 9 fructidor an XII chez Honoré Barthélemy, notaire au Beausset. Fasse le ciel qu'on ne le revende jamais plus ! " (Société d'études scientifiques et archéologiques de Draguignan, 1876-1877). |
Oratoire Saint Pierre et Saint Paul (1943). Au XIXe siècle. " L'ermitage est entouré d'une petite forêt qui s'étend vers le nord, et de quelques arpents de terre de peu de valeur ; le produit de cette terre suffisait autrefois pour nourrir l'ermite commis à la garde de la chapelle ; en 1810, la terre du Beausset-Vieux s'affermait encore aux enchères publiques au prix de 150 fr. ; aujourd'hui elle ne rend plus rien et le frère ermite est réduit à demander de porte en porte de quoi soutenir sa pauvre existence. La contrée conserve encore le souvenir de plusieurs de ces solitaires, notamment du frère Jacques (XVIII s.) et plus récemment du frère Léon. " |
" Le nom de Notre Dame de Beauvoir qu'elle portait au XVIe
siècle, ne lui a
été donné que beaucoup, plus tard, vers 1500, sans doute à cause de son
admirable point de vue. Après avoir subi de nombreuses modifications
elle présente aujourd'hui les dispositions suivantes : Orientation
symbolique de l'Ouest à l'Est. Plan rectangulaire composé d'une seule
nef, Voûte ogivale (restauration) soutenue par des pilastres reliés
entre eux par une corniche en saillie. Bancalia appliquée
intérieurement sur tout le pourtour. Fenêtres en plein cintre, étroites
et évasées, ouvertes au midi. Murs de 1 mètre d'épaisseur avec
revêtement à l'intérieur et à l'extérieur de pierres calcaires de moyen
appareil, posées en assises régulières. Porche à deux entrées,
l'une
au Nord et l'autre au Sud. Clocheton arcade supportant une petite
cloche datée de 1634, et non pas de 1034 comme on l'a écrit souvent par
erreur. L'intérieur de cette église est très-pauvre. A l'exception d'une statue de la Vierge assez médiocre, due au ciseau d'un artiste toulonnais Olivier qui l'exécuta en 1712, il n'y a aucune œuvre d'art à citer. " (Bulletin de l'Académie du Var - 1904). |
" On monte encore aujourd'hui en procession au
Beausset-Vieux deux fois par an, le jour de l'Ascension et le 8
septembre, fête de la chapelle ; la procession du jour de l'Ascension
fut établie en 1655 et dans le but d'aller demander à la Vierge ses
lumières pour l'élection des nouveaux consuls, qui se faisait le jour
de la Pentecôte. " ... (L'abbé Dupuis - 1876). |
" La croix du Beausset-Vieux, qui s'élève à
l'extrémité Nord-Ouest de l'escarpement, sur une rocaille de
stalagmites apportées d'une grotte voisine appelée le Saint-Trou, et
artistement agencées par de pieuses mains. Cette croix, dont le Christ
est en fonte et d'un fini remarquable, fut donnée par la famille
Barthélémy d'Estienne, portée de la ville à l'ermitage, en procession
solennelle, présidée par Mgr Vicart, évêque de Fréjus, elle fut posée
le 27 janvier 1854, jour de la clôture d'une mission donnée par les RR.
PP. Teissier et Ripert, de la Compagnie de Jésus. (Bulletin de la
Société d'études scientifiques et archéologiques de la ville de
Draguignan - 1864). |
Oratoire Saint Lucien (1977) |
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Plan
réalisé à partir des fouilles archéologiques de 1991 - Centre
archéologique du Var. |
Le site est inscrit aux Monuments historiques depuis le 20
février 1970. |
La
Cadière d'Azur, les chapelles Saint-Côme et Saint-Damien, la chapelle
Sainte-Madeleine,
" La Cadière, en
provençal Cadiera, bourg muré dans le diocèse de Marseille et dans la
Viguerie d'Aix. Il dépend de la Sénéchaussée de Toulon dont il est
éloigné de trois lieues N.O. Dans les actes de Saint Victor de l'année
1019 et dans une Bulle de Grégoire VII de 1084, ce bourg est nommé
Cathedra. ... Saint André, apôtre, Patron du lieu, est en même temps
titulaire de la paroisse qui est desservie par un curé perpétuel à la
nomination de l'abbé de St-Victor-les-Marseille ... la chapelle de la Sainte-Croix Ci-dessous à gauche, La Cadière d'azur ; à droite, Le Castellet. Comme beaucoup de communes varoises, La Cadière d'Azur était une terre de chapelles, Sainte Madeleine, Saint-Eloy, de la Sainte-Croix, ND de Piété, ND de la Miséricorde, de Saint-André, N-D de Lorette, ND de Conilh ou encore ND de Consolation, pas moins de neuf chapelles ont " alimenté la piété des fidèles ". |
" La Cadière. " Ainsi appelée du mot grec "κάθισμα" qui
signifie, outre siège, un lieu de refuge, de repos, en latin
"cathedra", dénomination par laquelle cette petite ville est désignée
dans les anciennes chartes jusqu'au XIIe siècle, et d'où l'on a fait
plus lard "caderia", "cadiera" et "cadière", en provençal "cadiero",
mot qui dans cet idiome comme dans la basse latinité "caderia", est
synonyme de chaise , cathedra, lequel, dérivé du grec, signifie et
rappelle que ce lieu fut l'asile des habitants de Tauroentum et le
siège autour duquel ils se réunirent. Aussi bien en numismatique
"cadiere" à la même signification que "chaise" ; ainsi l'on appelle
"cadiere" et "chaise" quelques monnaies des rois de France à l'effigie
royale assise sur une chaise ou un pliant, telles sont les carlins ou
cadiere de Charles-le-Sage, les "masses" ou "cadiere" d'or de
Philippe-le-Hardi, et les chaises de Philippe VI, de Charles VI et de
Charles VII. " (Bulletin trimestriel de la Société des sciences,
belles-lettres et arts du département du Var - 1852). Sûrs ? " CADIERE (LA ) ou encore du provençal cade, genévrier, et du suffixe — aria, d'où cadaria, lieu planté de genévriers : ce qu'un notaire d'un XIVe siècle a pu confondre avec cadieiro (chaise ) et traduire cathedra." (Cahiers d'histoire et d'archéologie. Revue méridionale d'histoire locale ... - 1935). La solution dans l'armoirial : « le fond est de gueules à la croix de Saint André d'or avec un tabouret au milieu ». Que l'on prenne le texte de l'armorial ou les variantes d'Achard, de toutes les manières ces armes sont parlantes. C'est toujours une chaire (cathedra), ou un tabouret, avec un sautoir ou une croix de Saint André qui en font l'objet principal." |
Oratoire Saint Jean à
La
Cadière
d'Azur.
" On y voit deux chapelles de Pénitents :
les blancs et les
noirs. Les premiers sous le titre de Ste Marie Madeleine. Les seconds
sous celui de Notre-Dame de la Miséricorde pour l'enterrement des
morts. Ils ont chacun un prêtre aumônier. Les églises sont assez bien
décorées. " (Géographie de la Provence ... Claude-François Achard -
1787). |
La chapelle
Saint-Côme et Saint-Damien, La
Cadière d'Azur.
" Outre ces églises
qui ont été démembrées de La Cadière, il existe encore ça et là, dans
la circonscription territoriale de cette paroisse, plusieurs chapelles
pour alimenter la piété des fidèles. La plus riche en souvenirs
historiques est celle de Saint-Côme, bâtie sur l'abside de l'antique
église priorale de Saint-Damien, église dont les ruines encore
palpitantes d'intérêt rappellent ces vers d'un de nos poètes: A ces
restes sacrés, à ces murs vieillissants Quel pouvoir inconnu malgré moi
m'intéresse. C'est la religion ... SOUMET. " (Archives paroissiales, ou
Statistique religieuse de la Cadière : faisant suite à l'Histoire du
prieuré de Saint-Damien, abbé Magloire Giraud, 1858). |
" Saint Côme et Saint Damien, son frère, étaient médecins et chrétiens. Leur foi était aussi grande que leur science. Après avoir prodigué leurs soins aux malades et leur charité aux fidèles, ils versèrent généreusement leur sang pour Jésus-Christ. Leur nom a été inséré au canon de la messe. " (Bulletin du Comité de l'art chrétien, 1905). |
Oratoire " Saint Côme, Saint Damien, priez pour nous, 1861 " Restauré par le Société Médicale de Saint Luc, Saint Côme, et Saint Damien, octobre 1956. |
" Cette maison ou ce monastère, dit M.
Magloire Giraud, d'une architecture simple, présente quant au système
de maçonnerie, les plus grands rapports avec la construction romaine de
grand appareil. Les pierres plus larges que hautes sont grossièrement
taillées et posées en assises régulières, mode de construction usité
dans le Xème siècle et XIème siècle siècles. L'édifice construit comme
la plupart des monastères, sur le plan de la maison romaine, s'élevait
sur le flanc septentrional et s'appuyait sur une aile de l'église.
L'ensemble avait la forme d'un parallélogramme rectangle. L'intérieur
vaste et bien distribué offrait toutes les aisances d'une habitation
commune et l'avantage d'établir une communication avec l'église au
moyen d'un cloître dont l'enceinte laissée à ciel ouvert, servait de
cimetière aux religieux. Il ne subsiste guère des bâtiments conventuels
que quelques pans de muraille qui avaient 2 mètres d'épaisseur.
L'édifice avait 30 mètres de long et 15 mètres de large. " (Académie du
Var. 1904).
La chapelle (Vème - XIV ème siècle) est inscrite à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du 13 avril 1981. |
La chapelle
Sainte-Madeleine, La
Cadière d'Azur.
" La Chapelle de
Sainte Magdeleine. Le 3 mars 1566, les Pénitents blancs s'établirent à
la Cadière avec l'approbation de Mgr Pierre Ragueneau, évêque de
Marseille, sous le titre de Sainte Marie-Magdeleine. L'année suivante
ils bâtirent leur chapelle sur l'emplacement du château féodal, et la
Communauté leur accorda 14 écus pour en faciliter la construction." |
" Cette chapelle présente les dispositions
suivantes : plan rectangulaire composé d'une nef terminée par une
abside en cul de four ; voûte à croisillons ; porte et fenêtres
cintrées ; toit à double pente ; clocheton arcade ; cimetière contigu à
la chapelle. Le mur occidental est un reste des remparts de la ville. "
(Bulletin de l'Académie du Var - 1904).
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La chapelle
Sainte-Croix, La
Cadière d'Azur.
" De toutes ces
chapelles champêtres, monuments de la piété des habitants de La
Cadière, il ne reste que quelques vestiges ; la révolution les a fait
disparaître. Les unes ont été vendues nationalement et converties en
granges ; les autres ont été entièrement détruites, une seule a été
conservée au culte, c'est la chapelle de Sainte-Croix, bâtie sur la
crête du défens. " |
" Alphante, femme de Jean Rimbaud, de
Marseille y fonda une chapellenie le 13 novembre 1619 et lui assigna un
capital de 350 livres pour y célébrer la messe les jours de l'invention
et de l'exaltation de la Sainte-Croix, ainsi que tous les vendredis de
carême à charge de réciter après la messe la passion de N. S. Les
pénitents blancs présentaient à la nomination de cette chapellenie. "
(Bulletin trimestriel de la Société des sciences, belles-lettres et
arts du département du Var, 1857).
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