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Stèles,
monuments, Résistance dans le Var
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Après
plusieurs jours de préparation sur les côtes italiennes l'opération
Anvil-Dragoon est ordonnée le 09 août 1944, le jour J du débarquement
en Provence est alors fixé au 15 août 1944.
Dans la nuit du 14 au 15 août 1944, le navire-transporteur "Prince Albert" parti de Corse se dirige discrètement vers le Rayol. Il transporte les Commandos d'Afrique du lieutenant-colonel Bouvet qui vont avoir l'honneur d'être les premiers à débarquer en Provence. A 22 heures, l'adjudant-chef Texier, le sergent-chef du Belloc et leurs hommes quittent le navire pour ouvrir une première tête de pont sur la plage du Rayol, c'est le débarquement de Provence ... |
Nuit
du 14 au 15 août 1944, le
Rayol - Canadel-sur-Mer, |
" C'est à ce point précis
désormais historique que la dans la nuit de 14 au 15 août 1944 débarqua
la première vague des commandos d'Afrique avant-garde des troupes
alliés. " |
La nécropole nationale du Rayol -
Canadel-sur-Mer.
" Dans cette Nécropole repose les corps des premiers combattants français venus d'Afrique et tombés sur le sol de Provence pour la libération de la France ". " A la mémoire du général Bouvet, chef des Commandos d'Afrique, libération du Rayol-Canadel. " Le cimetière national du Rayol - Canadel-sur-Mer regroupe les dépouilles des membres du Commando d'Afrique qui ont trouvé la mort aux côtés de leur chef en escaladant les falaises du Cap-Nègre. D'une superficie de 220 m², ce cimetière est le plus petit des cimetières nationaux français. Les sépultures "In memoria" conservent le souvenir des combattants dont les corps ont été restitués aux familles. |
Sous couvert de l'obscurité,
le commando n°1 du capitaine Ducourneau doit détruire les batteries
allemandes situées sur le Cap-Nègre pendant que les autres membres du
groupe devront forcer les positions ennemies et s'emparer rapidement de
la route côtière. Mais faute d'apercevoir le signal prédisposé sur la
plage du Rayol, les hommes de l'adjudant-chef Texier débarquent à deux
kilomètres à l'ouest de leur objectif. A 00h30, le groupe Texier est
enfin au pied au Cap-Nègre et débute son escalade des pentes du
promontoire. Au terme d'une difficile ascension de 60 mètres,
l'adjudant-chef est atteint des éclats de grenade ennemie et succombe à
ses blessures. Malgré la perte de leur chef, les hommes continuent leur progression et, aux côtés du commando Ducourneau, engagent le combat ; ils s'emparent de la position et détruisent les canons allemands permettant ainsi le débarquement des 600 hommes du lieutenant-colonel Bouvet sur la plage du Rayol. |
15
août 1944, débarquement sur la plage du Dramont.
Un chaland de débarquement et plusieurs plaques commémorent le débarquement de Provence sur la plage du Dramont. - " Cette stèle a été inaugurée par Monsieur Georges Ginesta, maire de St-Raphaël, vice-président de conseil général, le Conseil municipal et M. John H. Willms, Commander American Legion Riviera Post 5 le 01/10/2000. " - " A la mémoire de l'amiral Henry Kent HEWITT, commandant le débarquement de Provence le 15 août 1944. A permis à la 7ème Armée américaine et à la première Armée français de faire la jonction avec les forces alliées pour libérer la France. " - " Colonel R.D Parker. Capitaine de la 36ème DIAT Cie du 2ème bataillon du 141ème Régiment. A débarqué sur la plage d'Agay le 15 août 1944 à 8 heures du matin avec 190 hommes. DCD le 18.04.2002. Souvenir de toute sa famille Parker et Petit. " - " William E. Ketchens. Canon co 474th INT REGT; 1St Ranger BN - FSSF a débarqué ici le 15/08/1944. Décédé le 25/10/96. Ses cendres ont été dispersées au large du Dramont, suivant ses dernières volonté. Famille Ketchens-Demessine. " |
Initialement
choisie par les Alliés, les plages du Languedoc seront délaissées an
faveur des plages varoises, stratégiquement et géographiquement mieux
placées (proches des ports de Toulon et Marseille et la Corse). De plus
la profondeur des fonds littoraux permet l'accès aux lourdes
embarcations de débarquement et limite le risque de minage. Le 15 août à l'aube, les troupes alliées se préparent à débarquer entre Cavalaire et Saint-Raphaël, appuyées par l'aviation, les hommes parachutés la veille ainsi que la Résistance. |
Le
débarquement des Alliés en Provence a mobilisé plus de 500 000 hommes
(dont 230 000 soldats français et 15 000 Résistants), la flotte a
disposé de 2250 navires, dont plus de 900 bateaux de guerre. Outre les
effectifs humains, ont été débarqué 800 chars et blindés, 1161 pièces
d'artillerie et plusieurs milliers d'obus. Ces manœuvres ont été
appuyées par près de 2000 avions et planeurs. Les pertes humaines de ce
débarquement se chiffrent à 30 000 tués, blessés et disparus côté allié
et 125 000 côté allemand. |
A 08 heures précise le 15 août, la 36ème Division d'infanterie US (les fameux Rangers), met pied à terre sur la plage du Dramont et débarque la logistique et les blindés qui permettront, après d'intenses combats et avec l'appui du 142ème Régiment US, la libération de Saint-Raphaël le matin du 16 août. Au total, ce sont près de 900 bateaux et 450 000 hommes qui s'apprêtent à mener combat. |
" C'est sur cette plage opiniâtrement défendue que le 15 août 1944 débarquent en force les hommes de la 36ème Division d'infanterie américaine c'est d'ici qu'avec leurs alliés français ils commencèrent la poussée qui les mena à travers la France, l'Allemagne et l'Autriche achevant la destruction complète de l'armée allemande et du régime nazi. " |
15 août 1944, " Sur cette plage le 15
août 1944, les armées libérèrent La Croix Valmer. " |
16
août 1944, la première Division Française Libre débarquent à
Cavalaire, le Mémorial
national
de la 1ère Division Française Libre à Hyères les Palmiers. " Il a été voulu simple, moderne, sans sculpture, sobre, seule la croix de Lorraine de dimensions modestes, les insignes des Unités, Bataillons et Régiments, rappellent notre appartenance à la France Libre " (Guy VADON , ancien de la 1ère DFL, auteur, créateur et maître d'oeuvre du mémorial). |
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"
Première Division Française Libre - Passants Souviens-Toi. Après s'être
illustrés dans les campagnes d'Erythrée, du Levant, d'Afrique, à Bir
Hakeim et El Alamein, de Tunisie, puis d'Italie, les volontaires de la
première Division Française Libre débarquent à Cavalaire le 16 août
1944. Durant la bataille de Provence, avec l'appui des canons des
Marines Française et Alliées, la division libère : Hyères,
Carqueiranne, La Crau, Le Pradet, La Garde et pénètre jusqu'au centre
de Toulon. Elle libère Lyon et Belfort, sauve Strasbourg et termine son
épopée dans la plaine du Pô après avoir enlevé la forteresse de
l'Authion défendue par les allemands très combatifs. Elle est la seule
Division à avoir combattue toute la Guerre de 1940 à 1945. " |
Le monument a été inauguré par Monsieur
Jacques Chirac, Président de la République, le 2 octobre 1999. 500
personnes, 80 drapeaux, des
détachements du 54ème Régiment d'artillerie d'Hyères, de la base
aéronavale d’Hyères, des Marines américaines et britanniques, des
délégations de la Gendarmerie Nationale et Mobile étaient présents pour
rendre hommage à la 1ère DFL. Le projet avait été porté par M. Guy
Vadon qui n'avait pas ménagé ses efforts pour concrétiser quatre ans
d'efforts, faisant appel " auprès de toutes les personnes,
Associations, Conseil Régional, Conseil Général, Mairies, Organismes
divers, Fondation Maginot, des Anciens notre Division, de nombreux
anonymes qui ont bien voulu nous aider, et tous ceux que je pouvais
toucher, et convaincre du bien-fondé de cette entreprise. Les réponses
n’ont pas toujours été positives et mêmes certaines sont restées lettre
morte. " |
Guy Vadon, Chevalier de la Légion d'honneur, titulaire de la médaille militaire, Chevalier de l'ordre national du mérite, Croix de guerre 39-45, Croix du combattant volontaire, Croix du combattant volontaire de la résistance, Croix du combattant, Médaille de la reconnaissance de la nation, Commémorative de la France Libre, Commémorative du CEF en Italie, Médaille d'outremer agrafe Tunisie, etc.... Président départemental du Var des Anciens de la 1ère DFL en janvier 1995. ____________
" 1ère DFL. Iils sont morts pour la France et la libération du Var entre les 19 et le 28 août 1944 " _____________ De chaque côté, deux plaques avec les 149 noms des premiers soldats de la DFL "tombés sur le sol de France, entre le Gapeau et le centre de Toulon, distant de 15 km seulement." |
"
Réalisé à la mémoire des 4000 morts et 12000 blessés
(dont 1500 handicapés à vie). Ces hommes qui ont tout donné sont
tombés tout au long de l'épopée glorieuse, longue de 90000kms parcourus
par les fores françaises libres et combattantes, du 18 juin 1940 au 08
mai 1945. Les unités de la division ont reçu 53 citations collectives et la Division elle-même a été citée quatre fois à l'ordre de l'Armée (26 juin 1942 bataille de Bir Hakeim ; 27 janvier 1945 pour l'Italie et les Vosges ; 16 mars 1945, pour ses combats en Alsace ; 7 juillet 1945, pour la campagne de l'Authion). Sur un total de 1038 Compagnons de la Libération promus par le général de Gaulle (dont 238 à titre posthume), 396 ont appartenu à la 1ère DFL (dont 78 à titre posthume). |
Les insignes de
toutes les unités et services ayant appartenu à la 1ère DFL pendant les
5 ans de campagne. |
Sous les
insignes, une autre plaque avec les généraux Koenig, Brosset et Garbay
qui ont commandé la 1ère DFL avec en dessous une adresse du général de
Gaulle aux soldats de la division : " Ce qu’a
su faire pour la France la Première Division Française Libre.
Ce qu’elle a su faire par le cœur, le corps, les armes et ceux qui en étaient. Ce qu’elle a su faire avec ses chefs Koenig, Brosset, Garbay, ses officiers, ses soldats. C’est un des plus beaux morceaux de notre grande histoire. C’est un rocher que les vagues du temps ne peuvent détruire jamais. C’est pour toujours, un défi lancé à ceux qui doutent de la France . " |
16
août 1944, un cimetière provisoire à Draguignan..
The Rhone American Cemetery - la chapelle du mémorial du Rhône et le cimetière américain de Draguignan. Des soldats sont tués dès le 15 août 1944, premier jour du débarquement de Provence. Le lendemain, le 551ème Bataillon d'Infanterie Parachutiste américain entre dans Draguigan ; un cimetière temporaire est établi dans un champ d'oliviers à l'entrée de la capitale dracénoise à l'initiative d'Angelin German, médecin, résistant, et Denis Fontès. Ce bout de terre deviendra le Mémorial du Rhône, cimetière américain. |
Le cimetière officiellement inauguré le 26 juillet 1956 comptent 861 stèles de soldats américains, dont 62 inconnus (à son édification - quelques corps ont depuis pu être identifiés), morts durant les combats de le reconquête de l'Europe. Henry J. Toombs et A. F. Brinckerhoff en sont les architectes. |
La chapelle. Les mosaïques ont été réalisées par Austin
Purves
(1900 - 1977), artiste mosaïste américain. L'autel est en marbre vert
d'Aoste (Italie) ; y sont posés : une croix latine, deux chandeliers en
laiton poli, un reposoir accueillant le symbole des Tables de la Loi.
Les murs sont en pierre Rocheret du Jura. L'artiste a souhaité souligner la
douleur personnelle du deuil (parents enlacés sous un saule pleureur)
tout en
rappelant l'espoir des générations futures. Sur la droite, la
symbolique du roi Saint Louis arrivant à Aigues Mortes et ramenant les
reliques qui
seront déposées dans la Saint Chapelle à Paris, " Nous serons
insurmontables
si nous demeurons dans la charité. " Un oiseau posé dans l'arbuste à
côté des pierres tombales rappelle la continuité de la vie malgré les
tragédies. Sur la gauche de la mosaïque, non visible sur la photo, une
prière du cardinal Newman " O Lord support us all the day long until
our work is done. Then in the mercy grant us a holy rest and peace at
the last. ". |
Great
Seal of the united States. " Cette chapelle érigée par les Etats-Unis
d'Amérique symbolise le lien qui unit à jamais un peuple reconnaissant
a ses héros immortels. " Les noms des principales unités engagées dans
les opérations militaires dans le sud de la France en 1944 et 1945 sont
gravés sur les murs de la chapelle. Entre autres, côté US : 7ème Armée,
VI Corps 3ème Division Infantery ... Français : Armée B, 1er, 2e
Corps d'armée 1ère Division française libre, 2e Division d'infanterie
marocaine, 3e Division d'infanterie algérienne, 9e Division
d'infanterie coloniale, 1ère division blindée, 1ère Brigade de Spahis,
1er, 2e, 3e Groupements de Tabords marocains, 1er, 2e, 3e Groupements
de choc. British Army : 2 independent Parachute Brigade et 202 Group
Fighter RAF ; 515 navires et unités américains, 283 navires
britanniques, 12 navires français, 7 bâtiments grecs ... |
Les
noms de 294 soldats (257 soldats de l'Armée et de l'Air Force, 37
marins)
dont les corps ne furent jamais retrouvés sont
gravés sur le Mur des Disparus - the Wall of Missing - de part et
d'autre de " l'Ange de la Paix ", dessiné par Edmund
Amateis et réalisé par le sculpteur
Georges Granger. " Nous qui reposons ici pour que les générations
futures puissent vivre en paix. " |
" Année 1942. Ward Sackal, jeune Américain du Connecticut, se porte volontaire pour grossir les rangs de l'armée de son pays. Il a tout juste 18 ans et rêve de voler. Envoyé sur la grande base aérienne de Tucson, en Arizona, il apprend à piloter. Dans le village d’à côté, Christine, une jeune fille de bonne famille, s'investit avec quelques amies dans une association dont le but est de divertir les jeunes soldats. Une soirée dansante est organisée, où Ward et Christine se rencontrent. En seulement quelques pas de danse, ils tombent amoureux. Mais lorsque Ward reçoit ses ordres, leur idylle est interrompue. Au moment des adieux, le jeune homme fait promettre à Christine plusieurs choses : qu’elle continue à sortir avec ses camarades, qu’elle poursuive ses études et, surtout, qu’elle l’épouse à son retour. Éloignés, ils entretiennent une correspondance puis, un jour, Christine ne reçoit plus de nouvelles. N’osant pas contacter la famille du soldat, de peur que son promis n’ait pas parlé d’elle à ses proches, elle écrit à l’armée américaine. La réponse lui enlève tout espoir de retrouver son fiancé : Ward a perdu la vie sur le front. Bien des années après, Christine n’a pas oublié son premier amour. Et bien qu’elle ait brillamment réussi ses études, mené une belle carrière de professeur, épousé un homme avec qui elle a fondé une famille, elle pense toujours à Ward. Elle ose alors décrocher son téléphone et composer le numéro trouvé sur internet d’un membre de la famille Sackal, dans le Connecticut. Elle découvre, stupéfaite, que Ward avait bien parlé d’elle à ses proches. Et apprend que son amour de jeunesse, mort en France, est enterré dans le Var, à Draguignan, où elle se rend pour la première fois en juillet 2011. Depuis, parmi les 861 pierres tombales du cimetière américain du Rhône, celle de Ward est la plus fleurie. " Extrait du magazine " Le Var n° 11 - été 2021 ", édité par le Conseil départemental du Var. Profitez-en pour découvrir - redécouvrir - un magazine qui propose d'excellents articles. |
La
nécropole nationale de Boulouris
Sur le panneau d'information : " Située sur la commune de Saint-Raphaël, la nécropole nationale de Boulouris regroupe les corps de 464 soldats français morts pour la France lors des combats d'août 1944. De toutes origines et de toutes confessions, ces soldats appartenaient à l'armée B, conduite par le général de Lattre de Tassigny, qui est engagée en Provence. |
En mars 1960, Raymond Triboulet, ministre des anciens combattants, accepte le don de la municipalité de Saint Raphaël d'un terrain situé à Boulouris, à l'entrée de la forêt de l'Estérel, afin d'édifier une nécropole commémorant la débarquement de Provence du 15 août 1944. |
Les travaux se
déroulent en 1962-1963. En mars 1964 débutent les opérations de
regroupement des corps exhumés des cimetières communaux du Var
(Draguignan, Toulon, Hyères, Cogolin, Saint-Tropez ...). |
Sur la Plaque
: " Généreuse Provence, nous te les confions. En août 1944, ils sont
tombés sur ton sol pour la liberté. Veille à jamais sur eux. Le général
de Gaulle est venu le premier s'incliner sur leurs tombes le 15 août
1964 ". La nécropole a été inaugurée le 15 août 1964 par le général de Gaulle, président de la république, en présence de nombreux anciens combattants de France et d'Afrique réunis pour commémorer le 20e anniversaire du débarquement de Provence. " |
Extrait du
journal " Paris-Presse - L'Intransigeant ", édition du 16-17 août 1964. |
Inconnu
sénégalais - Mort pour la France - 24/08/1944 |
... de toutes
confessions ... |
Trois parmi ...
Henri Téheiura AVAEPUTA. Il appartenait au Btaillon du Pacifique, Mort pour la France le 23-08-1944 à La Garde dans le Var (France). Il était né le 01/05/1915 à Vairao - Tahiti (Polynésie Française, France). Il avait alors 29 ans, 3 mois et 22 jours. Sources : Mémoire des Hommes - Service historique de la Défense, Caen. Henri BRAUN. Aspirant du Groupement de soutien opérationnel (GSO). Mort pour la France le 28/08/1940. N'apparait pas dans la base de données de Mémoire des hommes. Djilani Ben Ali ABDALLAOUI. Soldat du 3 e Rt Tirail Algériens 2ème Bataillon. Mort pour la France, Tué par un éclat d'obus le 21-08-1944 à Toulon (Var, France). Il était né en 1919 à El Oued Lion des Ouled Djamaa le 4 des Achèdre ( annexe d'El Oued - Algérie). Sources : Mémoire des Hommes - Service historique de la Défense, Caen. |
Deux parmi ...
René Louis CACAUD, Mort pour la France le 15-08-1944, tué au cours du débarquement sur les côtes de Provence au Cap de l'Esquillon, entre Théoule et Le Trayas. Il était né le le 23/05/1920 à Bessines-sur-Gartempe (52 - Haute-Marne). Mort à 24 ans, 2 mois et 22 jours. Il était Quartier-maître de manœuvre. Sources : Mémoire des Hommes - Service historique de la Défense, Vincennes. KOLO SANOU. Mort pour la France, tué au combat le 21/08/1944 à Solliès-Ville (Var, France). Il était né en 1919 à Tounouma (Côte d'Ivoire). Il appartenait au 6e Régiment de tirailleurs sénégalais (6e RTS). Sources : Mémoire des Hommes - Service historique de la Défense, Caen. Voir ici son nom sur la stèle dans le cimetière de Solliès-Ville. |
Suivre le lien
pour agrandir l'image et pouvoir lire les noms des militaires
reposant dans le cimetière militaire de Boulouris. |
Monument à
Saint-Raphaël. " A la gloire des volontaires des
forces françaises libres qui répondant à l'apple du général de gaulle
ont maintenu la France dans la guerre et dans l'honneur lui permettant
avec ses alliés de remporter la victoire pour sa libération. 18 juin
1940 8 mai 1945. " |
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